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FR Le chorégraphe à la réputation de rebelle Andrés Marín s’empare du roman de Cervantes pour bousculer les codes du flamenco et créer, dans un spectacle total, une gestuelle résolument contemporaine. Casque rutilant, barbe au carré et tenue de footballeur siglée d’un numéro 10… son Don Quichotte n’a rien du célèbre hidalgo de la Mancha. Point d’épopée ibérique ni de moulins à combattre, mais bien un idéalisme partagé : dans D. Quixote, chaque geste brûle d’une force de création inouïe. Presque un flamenco ressuscité !
ES Los desaforados gigantes son ahora la publicidad, los falsos discursos, el engaño para meternos al redil. Los caminos de La Mancha son calles de ciudad; el rocín, un patinete eléctrico. Don Quijote sigue rebelándose. Todo está en Cervantes, pero el imaginario es nuevo y el lenguaje, recién creado: la camiseta del 10 y un yelmo, botas de fútbol y guantes de boxeo, música electrónica y martinetes, tiorba y bajo eléctrico. Discutirán algunos que el D. Quixote de Andrés Marín sea flamenco; es innegable que, como diría la crítica E. Zatania, sin el flamenco no habría sido posible.
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